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Titre : | Les lendemains qui chantent |
Auteurs : | Arnaldur Indriðason, Auteur ; Eric Boury, Traducteur |
Editeur : | Paris : Éditions Métailié, 2025 |
Collection : | Bibliothèque nordique (Paris. 2001), ISSN 1625-9297 |
ISBN/ISSN/EAN : | 979-10-226-1418-4 |
Format : | 1 vol. (325 p.) / 22 cm |
Langues: | Français |
Langues originales: | Islandais |
Index. décimale : | 803 |
Mots-clés: | Espionnage ; Communisme ; Islande |
Reykjavík : deux anecdotes anodines… en place dans une construction complexe dont l’explorateur, Konrad, est un ancien policier, veuf, retraité qui s’ennuie. Les vieilles histoires le hantent et justement, on a découvert récemment le corps de Skafti, assassiné vers 1970. On avait trouvé un coupable : longuement interrogé, il eut la peine maximum. Le policier, chargé de l’affaire : Léo, ami de Konrad est le neveu d’un entrepreneur tout-puissant. Konrad mène les enquêtes, aidé de son amie Eyglo, courant toujours après Léo fugitif et angoissé, découvrant peu à peu quantité d’histoires sordides, parfois liées à la sienne. La police n’est pas tendre avec lui, vu son passé. L’enquête s’élargit…
Les lendemains qui chantent est le sixième volume des aventures de Konrad, ancien flic à la main estropiée, un peu ripou, veuf éploré ; le héros a peu d’estime de soi mais regrette la douceur de sa jeunesse entre sa femme et le ménage de son ami. On soupçonne l’influence avérée du patriarche à travers un portrait feutré, tellement bienveillant, et la virulence de l’espionnage par des détails minuscules et accablants. Le pays se révèle à l’époque où Russes et Américains y luttent dans l’ombre, où les déçus du communisme sont discrètement éliminés et les traîtres prospèrent. Une émouvante nostalgie règne, d’un pays simple et beau, aujourd’hui noyé de touristes. Le printemps arrive, les maisons abandonnées livrent leurs secrets, les dynasties criminelles aussi… mais le bien peut l’emporter. (E.B. et A.Be.)
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Les lendemains qui chantent est le sixième volume des aventures de Konrad, ancien flic à la main estropiée, un peu ripou, veuf éploré ; le héros a peu d’estime de soi mais regrette la douceur de sa jeunesse entre sa femme et le ménage de son ami. On soupçonne l’influence avérée du patriarche à travers un portrait feutré, tellement bienveillant, et la virulence de l’espionnage par des détails minuscules et accablants. Le pays se révèle à l’époque où Russes et Américains y luttent dans l’ombre, où les déçus du communisme sont discrètement éliminés et les traîtres prospèrent. Une émouvante nostalgie règne, d’un pays simple et beau, aujourd’hui noyé de touristes. Le printemps arrive, les maisons abandonnées livrent leurs secrets, les dynasties criminelles aussi… mais le bien peut l’emporter. (E.B. et A.Be.)
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Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
A0310607005 | RP IND L | Castelginest | Policiers | Sorti jusqu'au 30/04/2025 |
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